Les médecins britanniques ont prouvé que le coeur peut se déchirer par amour, par peur et par malheur.

Selon les cardiochirurgiens, une psychalgie forte ou une grande joie peuvent aboutir à l’insuffisance cardiaque. Actuellement, ce phénomène a été nommé « le sydrome du coeur brisé ».

La cause de cette maladie est la cardiomyopathie du stress, c’est-à-dire un grand rejet de l’adrénaline qui paralyse les chambres  inférieures du coeur et font travailler les chambres supérieures.

Auparavant, on croyait que l’adrénaline faisait travailler le coeur plus rapidement. Mais ce « syndrome du coeur brisé » démontre que ce n’est pas toujours ainsi. Il y a des cas où l’adrénline, au contraire, provoque la faiblesse et paralyse le travail du coeur dans l’organisme, ce qui aboutit à la mort.

Le « sydrome du coeur brisé » explique pourquoi plusieurs gens meurent les premiers jours après le décès de leurs proches. Selon les médecins, il y a beaucoup plus de gens qui meurent du « sydrome du coeur brisé » qu’en affichent les statistiques officielles. Ce sydrome peut être pris pour une crise cardiaque ordinaire ou pour l’ischémie myocardique.